Mon pacte avec le diable : un sentiment très agréable de joyeuse légèreté



Sur Instagram, je découvre le compte de Coyult Ithaí, une artiste peintre mexicaine qui, à l'aide d'un casque, fait écouter de la musique au bébé dans son ventre. De son mari, artiste comme elle, elle dit : «C'est mon mari, mon partenaire, mon ami et mon associé. L'Art nous a présentés, nous a joints et maintenant nous faisons chaque pas ensemble.» Je trouve ça beau. Et, là, je vois une autre photo sur son mur, la photo de la couverture d'un de ses «livres d'enfance préférés», dit-elle. Et c'est l'édition mexicaine de Un pacte avec le diable. L'espace d'un instant, j'ai éprouvé un sentiment très agréable de... joyeuse légèreté.