Il Faudra : un appel à la sagesse, pour les lecteurs de 4 à 99 ans

«(...) Un appel  des enfants à la sagesse, à l'action, au respect du monde, un regard innocent des petits qui dans leur pureté parlent de vérité et nous mettent cruellement face aux échecs de nous, les adultes (...) Pour les lecteurs de 4 à 99 ans»

Sur le blog Libreria Tua e Mia de 

Il faudra

Thierry Lenain 

Olivier Tallec 

 éditions Sarbacane pour l'album, Gallimard jeunesse pour le poche et CALLICEPHALE pour le kamishibaï

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Sur la table de chevet (de Mistikrak, bibliothécaire) : Fanon et... les Grandes questions de Sofia

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 « Le texte tout en douceur de Thierry Lenain capture l’innocence de l’enfance par le biais de dialogues naturels et spontanés. J’ai aimé ce processus narratif où on nous fait remonter le fil des événements ayant menés à la rencontre de deux personnes qui tomberont amoureuses. Les illustrations de Stéphanie Marchal capturent la poésie du quotidien. Ses traits naïfs et ses couleurs contrastantes sont un plaisir pour les yeux. Ce livre est tout adapté pour une exploitation en milieu scolaire : idéal pour faire des inférences et des prédictions. À ce sujet, dans le livre, la maman de Sofia n’a pas voulu s’embarquer dans l’histoire détaillée et complexe de la fondation des États-Unis, mais on aperçoit sur l’illustration des musiciens Jazz, des personnes issues de premières nations et des gens de toutes origines. Enseignants, questionnez vos élèves sur ce qu’ils savent des États-Unis afin de valider leurs connaissances antérieures. Vous pourriez ensuite rebondir sur une petite leçon d’his
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Où es-tu parti, papi ?, lu et partagé...

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Le Papi de Sofia est mort et Sofia se demande où il est parti. Amel lui a dit qu’il était sous la terre, Carlos, lui, pense qu’il est au ciel. Zadig pense que les Papis reviennent mais seulement ceux qui n’ont pas fait de bêtises, Jennifer elle croit en la réincarnation. Sofia, elle, est triste de l’absence de son Papi, elle le cherche et s’endort en pensant à lui. Durant la nuit elle se remémore leurs souvenirs en commun.... Un album empreint d’une douce nostalgie, où le texte de Thierry Lenain est sublimé par les aquarelles de Claude K. Dubois qui a choisi de représenter Sofia dans un monde rural. A partir de 5 ans. (Joëlle Froment, Lu et partagé, Fondation Battieuw-Schmidt )
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Où es-tu parti, papi ? : un album sur le deuil très puissant qui ne pourra que toucher intensément les lecteurs, quel que soit leur âge.

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La couverture annonce l’histoire de cet album : une petite fille s’interroge sur l’endroit rejoint par les morts. Dans ces pages, les mots savamment choisis de Thierry Lenain et les tendres illustrations de Claude K. Dubois, qui retranscrit toujours parfaitement des situations du quotidien riches en émotions, toucheront nécessairement le lecteur, petit ou grand. Mais la douceur des paroles et des pensées du personnage ajoute un peu de légèreté à la lecture. Pour cette petite fille, la conversation avec son papi n’est pas terminée : elle s’adresse à lui, lui raconte son quotidien et le questionne sans attendre de véritable réponse. L’alternance avec les pages sans texte offre aussi une grande place à la contemplation et met en valeur l’importance du temps qu’il est nécessaire de laisser passer lors des situations de deuil. Les scènes se déroulant sur les pleines pages, comme en arrière-plan de cette conversation souvent silencieuse adressée au papi, montrent que la vie se poursuit et qu
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La dernière année du Père Noël... Une réflexion philosophique sur le monde d'aujourd'hui.

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«(...) J'ai beaucoup aimé cette lecture ! C'est vraiment une belle réflexion philosophique sur le monde d'aujourd'hui, la consommation, la différence entre les pays riches et les pays pauvres. Il n'y a pas vraiment de morale culpabilisante, le Père Noël sait que c'est le monde d'aujourd'hui qui est comme ça et que ce n'est pas la faute des enfants. Les élèves qui étaient présents à la sieste contée des 6e et des 5e ont beaucoup apprécié aussi !»
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Une question qui revient sans cesse après la mort d’un proche. Cet album laisse bien entendre qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. A chacun de trouver la sienne, de se l’approprier pour continuer à vivre.

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« Depuis que Papi est parti, la vie continue pour Sofia et sa famille mais la petite se questionne « où est papi ?» Chaque copain/copine y va de son interprétation. Pour Amel, les papis vont dans la terre, pour Carlos, ils vont au ciel, pour Jennifer, ils reviennent un jour en fleur, pour Zadig, ceux qui ont dit trop de bêtises ne reviennent pas. Un matin, après une bonne nuit, Sofia sait où est parti son Papi. Là voilà rassurée et sereine. Des illustrations aquarellées qui laissent une grande place à l’imagination avec des pages sans texte qui offrent un temps de réflexion. Une question qui revient sans cesse après la mort d’un proche. Cet album laisse bien entendre qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. A chacun de trouver la sienne, de se l’approprier pour continuer à vivre.» Opalivres
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«Un magnifique ouvrage pour aborder un sujet rare et difficile.»

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 [...] Thierry Lenain dépeint avec une grande finesse la présence maternelle intense et protectrice, la construction et la puissance du lien filial. Alors que le narrateur verbal et le narrateur iconique s’accordent à rester implicites, l’album évoque de façon subtile la perte prématurée de la mère d’un petit enfant. Inspiré de la chanson Le portrait de Calogero, l’auteur a su trouver le ton juste, avec une économie de mots et des tercets poétiques qui vont droit au cœur. Le schéma répétitif « elle était là » rythme la lecture et rappelle la pérennité de cette relation unique. L’emploi de l’imparfait évoque le souvenir tandis que le changement de valeur temporelle pour le futur installe la notion de deuil. L'illustratrice québécoise Manon Gauthier a su capter l'essence et l’émotion de l’histoire. La fragilité et la candeur des papiers découpés traduisent le regard enfantin et apportent de la distance au récit. Les ombres des découpes créent du relief aux différentes scènes et
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Première édition du Salon International du Livre Enfant et Jeunesse (SILEJ) de Casablanca : Il Faudra y ré-enchantera l'univers des enfants

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  « C'est un rendez-vous attendu que les amateurs de littérature jeunesse ne manqueront pas : le Salon International de l'Enfant et de la Jeunesse (SILEJ) ouvre ses portes aujourd'hui à Casablanca, s'installant à l'Anfa Park jusqu'au 22 novembre. Au-delà d'une simple foire du livre, le SILEJ se positionne comme une plateforme incontournable pour les professionnels de l'édition jeunesse, offrant un espace d'échange entre écrivains, éditeurs, dessinateurs et jeune public...»  « Les spectacles proposés à l’Espace Agora sont tout simplement envoûtants. Du spectacle bébé conteur, mêlant chants envoûtants, danses orientales et dialogues pétillants, à l’adaptation poétique du texte « Il faudra » de Thierry Lenain, où un enfant, assis sur son île fleurie, observe le monde avec espoir malgré les épreuves, ces spectacles sont conçus pour ré-enchanter l’univers des enfants et transmettre un message puissant aux générations à venir....»    https://lematin.ma/cul
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Kangourouz et Kangoura : dans un livre, rien n’interdit de compliquer les choses (ou plutôt de les résoudre)

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La dernière double-page de l’album montre, à gauche, Kangoura devenue championne de boxe et, à droite, Kangourou devenu écrivain pour enfants. Ce n’est pas banal et les choses n’étaient pas écrites à l’avance. Nous savons tous – c’est comme cela, n’est-ce pas, chez les kangourous – que ce sont les mâles qui boxent et qu’aucun n’est écrivain pour enfants. Seulement voilà : dans un livre, rien n’interdit de compliquer les choses (ou plutôt de les résoudre) et c’est Thierry Lenain qui, par la grâce d’une histoire à rebondissements, va s’en charger. Son kangourou à lui ne veut pas apprendre à boxer et il ne manque pas d’imagination voire de mauvaise foi quand il s’agit d’éloigner le trio de kangourous mâles qui le relance de loin en loin. Un jour, plus d’idées et c’est d’autant plus gênant que Kangourou sera bientôt père de famille. C’est alors que surviennent les rebondissements. Le premier grâce à Grand-père Ornithorynque (sic) qui offre à Kangourou une machine à écrire quasi neuve. Kan
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